Naviguer dans la procédure de permis de travail au Panama
Votre organisation vise-t-elle une expansion mondiale ?
Le Panama pourrait être une option attrayante pour plusieurs raisons. Le pays est une destination privilégiée pour les expatriés internationaux. Cependant, l’extension de vos activités commerciales au Panama présente ses propres défis. Il est probable que vous souhaitiez transférer un groupe de personnel qualifié pour assurer une transition en douceur. Mais d’abord, il est essentiel d’obtenir les visas et permis de travail nécessaires pour eux. Comprendre le permis de travail au Panama Toute personne étrangère souhaitant travailler au Panama a besoin d'un visa d'immigration qui lui permet de demander un permis de travail. Les procédures d’obtention de la résidence et d’un permis de travail sont distinctes. Cependant, l'accomplissement de la procédure de résidence est une condition préalable à la demande de permis de travail. Le Service national de l’immigration traite toutes les demandes de résidence au Panama, tandis que le ministère du Travail et du Travail traite toutes les demandes de permis de travail. Principales conditions préalables Les conditions préalables à l’obtention d’un permis de travail dépendent du programme de résidence de l’étranger. Cependant, il existe des exigences communes applicables dans la plupart des cas, telles que : • Original et copie de la demande et de la procuration • Copie authentifiée de la résolution du Service national de l’immigration approuvant la résidence permanente panaméenne du demandeur • Certificat du Service national de l’immigration vérifiant le statut d’immigration du demandeur • Copie notariée de la carte de résidence du demandeur délivrée par le Service national de l’immigration • Quatre photos d’identité avec le Le nom du demandeur est inscrit au verso Dépenses et échéancier Le coût d’un permis de travail varie de 100 $ à 600 $ en frais gouvernementaux, plus les frais juridiques. Après l’introduction d’une demande, le ministère du Travail et du Travail prend entre 1 et 3 mois pour approuver ou rejeter la demande. En cas d’approbation, le demandeur recevra une pièce d’identité l’autorisant à travailler au Panama. Cette pièce d’identité peut devoir être présentée aux employeurs potentiels ou aux inspecteurs du ministère du Travail et du Travail si nécessaire. Renseignements supplémentaires Si un étranger titulaire d’un permis de travail valide est embauché par une entreprise locale, celle-ci doit maintenir un ratio de 10 employés panaméens pour chaque employé étranger. Cette règle ne s'applique pas aux entreprises multinationales, qui ont leurs propres règles. Une demande d’un étranger dans le cadre du programme des Nations amies doit également inclure un contrat de travail, une preuve d’inscription à la sécurité sociale et des informations sur la paie de l’employeur. En général, les étrangers peuvent investir dans leur propre entreprise et la superviser. Toutefois, le ministère du travail maintient qu'un tel étranger ne peut pas travailler ou gérer sans permis de travail. Il existe plusieurs options pour obtenir un permis de travail, en fonction du parcours de résidence du demandeur, notamment : • Étranger marié à un Panaméen • Étranger avec enfants panaméens • Étranger ayant une résidence dans le cadre du programme des nations amies • Étranger ayant une résidence dans le cadre du traité Panama – Italie • Étranger ayant une résidence dans le cadre du programme des étrangers professionnels • Étranger ayant une résidence au Panama depuis 10 ans ou plus • Étranger embauché par un entreprise locale dans la limite de 10 % de la main-d’œuvre étrangère autorisée • Étranger embauché par une entreprise locale avec un salaire minimum de 1 000 $/m, selon les règles de l’Accord de Marrakech • Étranger embauché par une entreprise locale dans les 15 % de main-d’œuvre technique experte • Étranger embauché en tant que chef d’entreprise par une entreprise de la zone franche de Colon • Étranger embauché par une entreprise locale qui n’offre des services qu’à l’étranger • Étranger obtenu la résidence en tant que réfugié Types de visas de travail au Panama Comme tous les pays, le Panama a des règles spécifiques pour les étrangers qui prévoient de voyager et de travailler à l’intérieur de ses frontières. Pour les séjours inférieurs à 90 jours, un visa touristique est disponible mais ne permet pas de travailler. Pour vivre et travailler au Panama, les travailleurs étrangers doivent obtenir un visa d'immigration, établir leur résidence, puis demander un permis de travail. Demande de permis de travail Au Panama, il incombe à l'employeur d'obtenir un permis de travail pour tout employé étranger. Cependant, un permis de travail ne peut être accordé tant que le Service national de l’immigration n’a pas accordé le statut de résident permanent. Pour demander un visa d’immigration et de résidence permanente, les ressortissants étrangers doivent contacter l’ambassade ou la mission diplomatique du Panama dans leur pays et soumettre tous les documents pertinents. Une fois le visa accordé, l’employeur au Panama peut procéder à une demande de permis de travail. Le gouvernement panaméen a mis en place des lignes directrices strictes pour garantir que les ressortissants panaméens soient privilégiés par rapport aux étrangers en matière d'emploi. L'employeur doit prouver qu'il a besoin d'un employé étranger avant de demander un permis de travail. Aussi, les salariés étrangers ne doivent pas dépasser 10% des effectifs de l’entreprise. Certaines professions réservées aux Panaméens Il est essentiel de noter que le Panama réserve certaines professions à ses ressortissants, comme l’ingénierie, le droit, la comptabilité et la psychologie. Un ressortissant étranger ne peut pas exercer ces professions, même avec un permis de travail. Occupations réservées aux Panaméens La loi panaméenne interdit aux étrangers, même avec un permis de travail, de travailler dans un certain nombre de professions réservées aux ressortissants panaméens et naturalisés – telles que la comptabilité, l’ingénierie, le droit ou la psychologie.
- Loi sur la comptabilité 57 de 1978
- Loi 22 de 1961 sur la botanique agricole
- Loi 22 de 1961 sur la chimie agricole
- Loi 22 de 1961 sur l'économie agricole
- Décret exécutif 257 de 1965 sur l'ingénierie agricole
- Loi 22 de 1961 sur les sciences agricoles
- Loi 22 de 1961 sur la biologie agricole
- Loi 22 de 1961 sur la zoologie agricole
- Loi 22 de 1961 sur l'agronomie
- Loi 22 de 1961 sur l'agrostologie
- Décret exécutif 257 de 1966 sur l'ingénierie architecturale
- Décret exécutif 257 de 1967 sur l'architecture et l'ingénierie
- Loi 4 de 1956 sur la coiffure et la cosmétologie
- Décret exécutif 257 de 1973 sur le génie chimique
- Loi 45 de 2001 sur la chimie
- Décret 8 de 1967 sur les chiropraticiens
- Décret exécutif 257 de 1968 sur le génie civil
- Loi 22 de 1961 sur la dasonomie